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Pensées inspiductives

Adjectifs absents.

 

L'impérieuse continence, irréfragablement, dans toutes circonstances, mène inéluctablement à la carence.

 

Le paysage est comme une peinture, une image en mouvement.

 

Tais-toi et fais-le. Fais-le et tais-toi.

 

Parvenir à aimer même ce que l'on n'aime pas.

 

Si tu ne nais pas, tu n’es pas. et si tu meurs, tu n'es plus, il te faut donc calancher puis renaître, car l’être que tu es là n’est pas celui qu’il te faut, celui que tu dois être.​

Une fleur qui est cueillie est une fleur qui fane précocement.

Rien ne peut réellement te faire de mal si tu es capable d’acquérir du bien de tout ce qui est mal, et de l'en imprégner de tes acquisitions.

La nuance qui fait toute la différence.

L’humain n’a pas pensé a créer une bouée avant même d’avoir vécu l’expérience d'être submergé.

Peut-être vaut-il mieux rester dans l’ombre, afin de subsister,

de même sorte que la neige au printemps.

La laideur dans toute sa splendeur.

Il y a possibilité de paradoxe dans tout.

Le pouvoir de tout détruire, de tout reconstruire.

Je sais où je me trouve mais je suis perdu.

Marche et ferme les yeux.

Sans tout et à partir de rien, on trouve tout.

Prendre la peine et le plaisir de vivre ses émotions.

En amour avec la vie pour la vie.

Motivé, inspiré et fauché.

Un nouveau jour, de nouvelles aventures.

Si ça vaut la peine, ça vaut le plaisir.

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